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<title>Numerama.com - Magazine</title>
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<description>Actualite informatique et numerique // via fulltextrssfeed.com</description>
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<link>http://www.numerama.com/magazine/25669-brevets-un-juge-doute-de-la-bonne-volonte-de-google-et-apple.html</link>
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<title>Brevets : un juge doute de la bonne volonté de Google et Apple</title>
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<pubDate>Fri, 12 Apr 2013 15:38:15 +0000</pubDate>
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<description><div id="newstext">
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<p><span><img alt="" src="http://www.numerama.com/media/attach/classaction.jpg" class="c50"/> Apple et Google souhaitent-ils vraiment en finir avec leur interminable querelle engagée au nom de la propriété industrielle ? Robert Scola en doute. Juge fédéral officiant au tribunal de Miami, il a rédigé une ordonnance dans laquelle il s'interroge sur les buts réels poursuivis par les deux entreprises high-tech. Le magistrat les suspecte en effet de chercher à faire traîner la procédure.</span></p>
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<p><span>"<em>Les deux parties n'ont aucun intérêt à résoudre efficacement et rapidement ce différend ; elles paraissent plutôt décidées à utiliser ce litige dans le monde entier comme une stratégie commerciale qui ne semble ne pas avoir de fin</em>", a-t-il écrit, avant de considérer que cette manière de procéder n'est pas une utilisation convenable des moyens judiciaires.</span></p>
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<p><span>À ses yeux, cette attitude trahit donc une stratégie commerciale. Mais l'ordonnance de Robert Scola, consultée par <a href="http://redirect.viglink.com?key=11fe087258b6fc0532a5ccfc924805c0&u=http%3A%2F%2Fwww.bloomberg.com%2Fnews%2F2013-04-10%2Fapple-google-not-interested-in-settlement-judge-says.html" target="_blank">Bloomberg</a>, ne s'arrête pas là. Le juge trouve en outre le comportement des deux firmes quelque peu cavalier. "<em>Sans la moindre gêne, [elles] demandent maintenant au tribunal de nettoyer leur bazar en tenant une audience afin de diminuer la taille et la complexité de l'affaire. Le tribunal refuse cette suggestion</em>".</span></p>
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<p><span>En conséquence, le juge laisse un délai de quatre mois à Google et Apple pour s'entendre. Si elles échouent à s'accorder, Robert Scola est prêt à suspendre la procédure indéfiniment, le temps que les deux entreprises trouvent une solution. Selon le juge, le litige porte sur 12 brevets. 180 réclamations ont été signalées et les deux groupes s'opposent sur plus de 100 termes.</span></p>
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<p><span>Depuis bientôt trois ans, les principales entreprises high-tech s'écharpent au nom de la propriété industrielle. Si certaines actions en justice sont vraisemblablement légitimes, d'autres en revanche sont déposées dans le seul but d'entraver les activités commerciales d'un concurrent. D'ailleurs, il n'est pas rare de lire des demandes de retrait visant un produit ou une gamme d'un rival.</span></p>
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</div><img src="http://pixel.quantserve.com/pixel/p-89EKCgBk8MZdE.gif" border="0" height="1" width="1" /></description>
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<link>http://www.numerama.com/magazine/25671-la-taxe-copie-privee-remplacee-par-une-taxe-sur-la-high-tech.html</link>
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<title>La taxe copie privée remplacée par une taxe sur la high-tech ?</title>
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<pubDate>Fri, 12 Apr 2013 15:15:20 +0000</pubDate>
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<description><div id="newstext">
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<p><span>Pierre Lescure va-t-il complètement chambouler le fonctionnement de la rémunération copie privée, qui permet aux ayants droit d'encaisser collectivement près de 200 millions d'euros par an ? Au moment où la Commission Européenne menace d<a href="http://redirect.viglink.com?key=11fe087258b6fc0532a5ccfc924805c0&u=http%3A%2F%2Fwww.numerama.com%2Fmagazine%2F24998-l-harmonisation-europeenne-de-la-copie-privee-rejetee-par-les-ayants-droit.html">'imposer une harmonisation des taux</a> qui serait défavorable aux industries culturelles françaises, où <a href="http://redirect.viglink.com?key=11fe087258b6fc0532a5ccfc924805c0&u=http%3A%2F%2Fwww.numerama.com%2Fmagazine%2F24785-copie-privee-le-conseil-constitutionnel-sanctionne-l-abus-de-pouvoir.html">la commission copie privée vole en éclats</a>, et où il apparaît très difficile de trouver les textes juridiques permettant de <a href="http://redirect.viglink.com?key=11fe087258b6fc0532a5ccfc924805c0&u=http%3A%2F%2Fwww.numerama.com%2Fmagazine%2F24097-le-cloud-permet-des-copies-privees-qu-il-faut-taxer-tranche-le-cspla.html">taxer le cloud au nom d'une copie privée</a> qui n'existe plus vraiment, l'ancien patron de Canal+ pourrait proposer une solution que la plupart des ayants droit applaudiront des deux mains.</span></p>
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<p><span>En effet, selon le site <a href="http://redirect.viglink.com?key=11fe087258b6fc0532a5ccfc924805c0&u=http%3A%2F%2Felectronlibre.info%2Fla-copie-privee-la-grosse-reforme-mijotee-par-pierre-lescure%2F" target="_blank">Electron Libre</a> (sur abonnement), Pierre Lescure pourrait proposer de supprimer techniquement la rémunération pour copie privée, pour la remplacer par une véritable taxe au sens fiscal du terme, assise sur le chiffre d'affaires des industries high-tech. L'actuelle commission copie privée, qui ne sert que d'arène d'affrontements entre ayants droit, industriels et consommateurs, serait alors supprimée.</span></p>
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<p><span>"<em>A la place, la mission préconise un comité, sorte de commission réduite aux seules organisations de perceptions et de répartition qui conserveraient comme prérogative les clefs de répartition de la collecte</em>", précise Electron Libre. En clair, l'impôt serait prélevé au bénéfice de l'industrie du disque et du cinéma, selon des clés déterminées par l'Etat, et c'est l'industrie elle-même qui se partagerait les fruits.</span></p>
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<p><span>"<em>Le cabinet d’Aurélie Filippeti est favorable à cette réforme, la DGmic (direction générale des médias et des industries culturelles, ndlr) aussi, et quelques uns des ayants-droit concernés</em>", assurent nos confrères. Seule la Sacem aurait émis des réserves, peut-être parce qu'elle craint de perdre le rôle clé qu'elle détient au sein de la commission copie privée.</span></p>
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<p><span>Electron Libre dit même que les industries high-tech seraient "<em>plutôt rassurés, car la taxe nouvelle s’appliquerait sur l’ensemble de leur activité</em>", de façon lisse, et pas uniquement sur les seuls produits éligibles à la rémunération copie privée. Actuellement par exemple, les ordinateurs de bureau ne sont pas taxés, mais les tablettes le sont.</span></p>
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<p><span>Notons que si cette idée, qui semble difficile à mettre en oeuvre, voyait réellement le jour, elle ferait peser un risque juridique sur l'existence-même du droit à la copie privée. En effet, le Conseil constitutionnel impose que le bénéfice de l'exception au droit d'auteur pour copie privée soit indemnisé par une rémunération. Donc si la taxe est déconnectée de la copie privée, l'exception copie privée n'existerait plus. </span></p>
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<p><span>Réponse le 6 mai prochain, <a href="http://redirect.viglink.com?key=11fe087258b6fc0532a5ccfc924805c0&u=http%3A%2F%2Fwww.numerama.com%2Fmagazine%2F25605-pierre-lescure-retarde-au-6-mai-son-rapport-sur-l-exception-culturelle.html">quand Pierre Lescure rendra son rapport post-Hadopi</a>.</span></p>
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</div><img src="http://pixel.quantserve.com/pixel/p-89EKCgBk8MZdE.gif" border="0" height="1" width="1" /></description>
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</item>
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<link>http://www.numerama.com/magazine/25668-l-affiche-de-la-taxe-d-eco-participation-prolonge-jusqu-en-2020.html</link>
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<title>L'affiche de la taxe d'éco-participation prolongé jusqu'en 2020</title>
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<pubDate>Fri, 12 Apr 2013 14:50:45 +0000</pubDate>
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<description><div id="newstext">
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<p><span><img align="right" alt="" hspace="10" src="http://www.numerama.com/media/attach/200px-Recycling_symbol2.svg.png"/></span></p>
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<p><span>En matière de taxes, rares sont les dispositifs provisoires qui ne deviennent pas définitifs. Mais pour une fois, l'application de l'adage devrait être bien accepté par les consommateurs, avec l'adoption de la <a href="http://redirect.viglink.com?key=11fe087258b6fc0532a5ccfc924805c0&u=http%3A%2F%2Fwww.assemblee-nationale.fr%2F14%2Fpropositions%2Fpion0715.asp" target="_blank">proposition de loi</a> socialiste "<em>relative à la prorogation du mécanisme de l'éco-participation répercutée à l'identique et affichée pour les équipements électriques et électroniques ménagers</em>".</span></p>
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<p><span>Jeudi, les sénateurs ont en effet adopté un texte qui avait été voté par l'Assemblée Nationale le 12 février dernier, qui prévoit comme son intitulé l'indique de reconduire l'affichage de la taxe d'éco-participation, prélevée notamment sur les écrans et téléviseurs, et autres appareils électroniques. La proposition de loi ayant été votée à l'identique dans les deux chambres lors de sa première lecture, elle pourra être immédiatement promulguée.</span></p>
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<p><span>Lorsqu'il est entré en vigueur en 2006, le dispositif d'éco-participation créé par l'<a href="http://redirect.viglink.com?key=11fe087258b6fc0532a5ccfc924805c0&u=http%3A%2F%2Fwww.legifrance.gouv.fr%2FaffichCodeArticle.do%3Bjsessionid%3D28285FDD520E60261CFBFA8C53A85DC9.tpdjo07v_1%3FidArticle%3DLEGIARTI000025144834%26amp%3BcidTexte%3DLEGITEXT000006074220%26amp%3BcategorieLien%3Did%26amp%3BdateTexte%3D20130701" target="_blank">article L514-10-2</a> du code de l'environnement prévoyait que le montant de la contribution prélevée sur "tout nouvel équipement électrique et électronique ménager" ne soit affiché aux consommateurs que jusqu'au 13 février 2013. La nouvelle loi étend le dispositif jusqu'au 1er janvier 2020, et conserve le principe selon lequel "<em>le coût unitaire supporté pour la gestion des déchets collectés sélectivement issus des équipements électriques et électroniques ménagers mis sur le marché avant le 13 août 2005 (...) est strictement égal au coût de la gestion desdits déchets</em>". Elle impose que ce coût soit répercuté à l'identique jusqu'au client final.</span></p>
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<p><span>En 2011, selon un rapport de l'Ademe, 193 millions d'euros ont été perçus par les quatre éco-organismes à but non-lucratif agréés par les pouvoirs publics : Eco-systèmes, Ecologic et ERP et Récylum (ce dernier étant spécialisé dans les lampes usagées). 448 000 tonnes ont été collectées, soit 6,9 kg par habitant. </span></p>
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</div><img src="http://pixel.quantserve.com/pixel/p-89EKCgBk8MZdE.gif" border="0" height="1" width="1" /></description>
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<link>http://www.numerama.com/magazine/25667-twitter-music-est-officiel.html</link>
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<title>Twitter Music est officiel</title>
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<pubDate>Fri, 12 Apr 2013 14:03:23 +0000</pubDate>
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<p>L'ouverture de Twitter Music est imminente. Sur le site web du réseau social, une page dédiée est disponible et il est d'ores et déjà possible d'autoriser l'application à accéder à son compte.</p>
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<p><span><img alt="" src="http://www.numerama.com/media/attach/twittermusic.png"/></span></p>
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<p><span>Comme prévu, Twitter se lance dans la musique. Le réseau social a mis en ligne une page accessible à l'adresse <a href="http://redirect.viglink.com?key=11fe087258b6fc0532a5ccfc924805c0&u=https%3A%2F%2Fmusic.twitter.com%2F" target="_blank">music.twitter.com</a>. La plateforme est pour l'instant inaccessible. Elle devrait toutefois ouvrir ses portes dans les prochaines heures. En attendant, il est d'ores et déjà possible d'autoriser le service "Trending Music Web" à accéder à son compte.</span></p>
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<p><span>Le mois dernier, nous avions signalé que le réseau social américain <a href="http://redirect.viglink.com?key=11fe087258b6fc0532a5ccfc924805c0&u=http%3A%2F%2Fwww.numerama.com%2Fmagazine%2F25400-twitter-developperait-une-application-musicale.html">avait fait main basse sur We Are Hunted</a>, une startup spécialisée dans la recommandation musicale. Le service devrait être utilisable depuis un navigateur web, mais également via une application mobile. Une application iOS serait d'ores et déjà prête, tandis que celle prévue pour Android arriverait prochainement.</span></p>
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</div><img src="http://pixel.quantserve.com/pixel/p-89EKCgBk8MZdE.gif" border="0" height="1" width="1" /></description>
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<link>http://www.numerama.com/magazine/25666-bruxelles-rejette-la-plainte-de-sfr-sur-l-itinerance-entre-orange-et-free.html</link>
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<title>Bruxelles rejette la plainte de SFR sur l'itinérance entre Orange et Free</title>
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<pubDate>Fri, 12 Apr 2013 13:49:23 +0000</pubDate>
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<description><div id="newstext">
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<p><span><img alt="" src="http://www.numerama.com/media/attach/nouveau-logo-sfr.jpg" class="c50"/> C'est une épine de moins dans le pied de Free. La Commission européenne a balayé le recours déposé par SFR, <a href="http://redirect.viglink.com?key=11fe087258b6fc0532a5ccfc924805c0&u=http%3A%2F%2Fwww.numerama.com%2Fmagazine%2F24553-l-itinerance-entre-orange-et-free-attaquee-par-sfr-a-bruxelles.html">qui tentait d'invalider</a> le contrat d'itinérance mobile signé entre Orange et le jeune opérateur mobile. La filiale de Vivendi avait opté pour une thèse audacieuse, puisqu'elle cherchait à démontrer la capacité, pour l'opérateur historique, de contrôler son partenaire.</span></p>
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<p><span>"<em>La Commission a classé cette plainte</em>", a confié une porte-parole à <a href="http://redirect.viglink.com?key=11fe087258b6fc0532a5ccfc924805c0&u=http%3A%2F%2Fwww.bfmtv.com%2Feconomie%2Fexclusif-bruxelles-rejette-plainte-sfr-contre-orange-free-490258.html" target="_blank">BFM</a>. "<em>Nous sommes arrivés à la conclusion que ce contrat d'itinérance n'était pas un rachat tel que défini dans le droit des rachats</em>". Cependant, la tactique inhabituelle employée par SFR pour contester le contrat d'itinérance entre Orange et Dree a conduit certains observateurs à s'interroger sur les buts réels poursuivis par l'opérateur.</span></p>
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<p><span>L'accord entre Orange et Free est en effet confidentiel. Seuls les deux parties connaissent chaque modalité des liens qui les unissent. Or, c'est cette opacité que dénonçait Jean-Bernard Lévy, l'ancien président du directoire de Vivendi. <a href="http://redirect.viglink.com?key=11fe087258b6fc0532a5ccfc924805c0&u=http%3A%2F%2Fwww.numerama.com%2Fmagazine%2F18205-free-et-orange-signent-un-accord-d-itinerance-pour-le-mobile.html">Signé en mars 2011</a>, cet accord permet à Free de louer les infrastructures d'Orange pour faire transiter les communications en 2G et 3G et offrir une couverture similaire à celle d'Orange.</span></p>
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<p><span>Si SFR n'a pas réussi à casser le partenariat entre Orange et Free, ni même à en exposer le détail, l'opérateur peut au moins se consoler sur un point : celui-ci n'a pas <a href="http://redirect.viglink.com?key=11fe087258b6fc0532a5ccfc924805c0&u=http%3A%2F%2Fwww.numerama.com%2Fmagazine%2F23181-orange-l-itinerance-avec-free-mobile-n-a-pas-vocation-a-rester-eternelle.html">vocation à durer éternellement</a>. Il a même une date de fin : 2018. À cette date, Free Mobile devra exclusivement compter sur son propre réseau pour acheminer les télécommunications de ses clients. Et pour l'instant, le <a href="http://redirect.viglink.com?key=11fe087258b6fc0532a5ccfc924805c0&u=http%3A%2F%2Fwww.numerama.com%2Fmagazine%2F25654-free-mobile-couvre-pratiquement-un-francais-sur-deux-selon-l-arcep.html">déploiement suit son cours</a>.</span></p>
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</div><img src="http://pixel.quantserve.com/pixel/p-89EKCgBk8MZdE.gif" border="0" height="1" width="1" /></description>
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<link>http://www.numerama.com/magazine/25664-linkedin-s-approprie-l-agregateur-pulse-pour-90-millions-de-dollars.html</link>
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<guid isPermaLink="true" >http://www.numerama.com/magazine/25664-linkedin-s-approprie-l-agregateur-pulse-pour-90-millions-de-dollars.html</guid>
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<title>LinkedIn s'approprie l'agrégateur Pulse pour 90 millions de dollars</title>
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<pubDate>Fri, 12 Apr 2013 12:37:22 +0000</pubDate>
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<description><div id="newstext">
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<p><span><img alt="" src="http://www.numerama.com/media/attach/pulselinkedin.png" class="c50"/> LinkedIn fait son entrée dans le petit monde des agrégateurs. Le réseau social américain vient en effet de s'emparer de Pulse, une plateforme conçue par Alphonso Labs qui permet d'agglomérer divers flux d'information. Et le site spécialisé dans les relations professionnelles n'a pas hésité à y mettre le prix : pour prendre le contrôle du service, LinkedIn <a href="http://redirect.viglink.com?key=11fe087258b6fc0532a5ccfc924805c0&u=http%3A%2F%2Fwww.lightreading.com%2Flinkedin-to-mobilize-content-with-90m-pulse-acquistion%2F240152799" target="_blank">va débourser</a> 90 millions de dollars.</span></p>
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<p><span>Cette acquisition ne changera absolument rien pour les usagers de Pulse. Dans un <a href="http://redirect.viglink.com?key=11fe087258b6fc0532a5ccfc924805c0&u=http%3A%2F%2Fblog.pulse.me%2Fpost%2F47721164686%2Fpulse-joins-the-linkedin-family" target="_blank">communiqué</a>, les responsables du projet assurent que les applications mobiles continueront de fonctionner comme autrefois. Du moins, pour l'instant. Il est assez évident que LinkedIn va chercher à intégrer parfaitement sa nouvelle prise au reste de son écosystème, quitte à modifier la plateforme.</span></p>
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<p><span>Fondé en 2010, Pulse est disponible sur iOS et Android. Le service peut également être utilisé depuis un navigateur web. Selon les statistiques fournies par LinkedIn, plus de 30 millions d'usagers utilisent Pulse, qui est disponible en neuf langues différentes. LinkedIn note en effet qu'une part importante des membres (40 %) se situe en dehors des États-Unis.</span></p>
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<p><span>L'achat de Pulse survient dans un contexte bien particulier. Google a en effet choisi <a href="http://redirect.viglink.com?key=11fe087258b6fc0532a5ccfc924805c0&u=http%3A%2F%2Fwww.numerama.com%2Fmagazine%2F25379-google-va-fermer-google-reader-le-1er-juillet.html">de fermer Reader</a> le 1er juillet prochain. En conséquence, les <a href="http://redirect.viglink.com?key=11fe087258b6fc0532a5ccfc924805c0&u=http%3A%2F%2Fwww.numerama.com%2Fmagazine%2F25398-la-disparition-prochaine-de-google-reader-agite-la-concurrence.html">rivaux de l'agrégateur s'activent</a> pour récupérer les anciens utilisateurs de la plateforme. Or, Pulse fait justement partie des alternatives qui sont recommandées par les médias et les internautes. Un point qui n'a pas dû échapper non plus à LinkedIn.</span></p>
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